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T.S.D.I

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20 août 2007

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20 août 2007

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20 août 2007

Ordinateur - éléments constitutifs


Introduction à la notion d'ordinateur

La compréhension du vocabulaire informatique représente généralement la principale difficulté à laquelle se heurtent les acheteurs potentiels d'ordinateurs personnels. En effet, contrairement à un téléviseur, pour lequel les critères de choix sont assez limités, le choix d'un ordinateur revient à choisir chaque élément qui le compose et à en connaître les caractéristiques. Ce dossier n'a pas pour but de donner un sens à toutes les abréviations informatiques (dans la mesure où de nombreux constructeurs ont leurs propres terminologies), mais il cherche à aider à mieux comprendre les principaux composants d'un ordinateur, d'en expliquer le fonctionnement et d'en donner les principales caractéristiques.

Présentation de l'ordinateur

Un ordinateur est un ensemble de circuits électroniques permettant de manipuler des données sous forme binaire, c'est-à-dire sous forme de bits. Le mot « ordinateur » provient de la société IBM France. François Girard, alors responsable du service promotion générale publicité de l'entreprise IBM France, eut l'idée de consulter son ancien professeur de lettres à Paris, afin de lui demander de proposer un mot caractérisant le mieux possible ce que l'on appelait vulgairement un « calculateur » (traduction littérale du mot anglais « computer »).

Ainsi, Jaques Perret, agrégé de lettres, alors professeur de philologie latine à la Sorbonne, proposa le 16 avril 1955 le mot « Ordinateur » en précisant que le mot « Ordinateur » était un adjectif provenant du Littré signifiant « Dieux mettant de l'ordre dans le monde ». Ainsi, il expliqua que le concept de « mise en ordre » était tout à fait adapté.

Types d'ordinateurs

Toute machine capable de manipuler des informations binaires peut être qualifiée d'ordinateur, toutefois le terme « ordinateur » est parfois confondu avec la notion d'ordinateur personnel (PC, abréviation de personal computer), le type d'ordinateur le plus présent sur le marché. Or il existe beaucoup d'autres types d'ordinateurs (la liste suivante est non exhaustive) :

  • Amiga
  • Atari
  • Apple Macintosh
  • stations Alpha
  • stations SUN
  • stations Silicon Graphics

La suite de ce dossier, aussi générique soit-elle, s'applique ainsi plus particulièrement aux ordinateurs de type PC, appelés aussi ordinateurs compatibles IBM, car IBM est la firme qui a créé les premiers ordinateurs de ce type et a longtemps (jusqu'en 1987) été le leader dans ce domaine, à tel point qu'elle contrôlait les standards, copiés par les autres fabricants.

Constitution de l'ordinateur

Un ordinateur est un ensemble de composants électroniques modulaires, c'est-à-dire des composants pouvant être remplacés par d'autres composants ayant éventuellement des caractéristiques différentes, capables de faire fonctionner des programmes informatiques. On parle ainsi de « hardware » pour désigner l'ensemble des éléments matériels de l'ordinateur et de « software » pour désigner la partie logicielle.

Les composants matériels de l'ordinateur sont architecturés autour d'une carte principale comportant quelques circuits intégrés et beaucoup de composants électroniques tels que condensateurs, résistances, etc. Tous ces composants sont soudés sur la carte et sont reliés par les connexions du circuit imprimé et par un grand nombre de connecteurs : cette carte est appelée carte mère.

La carte mère est logée dans un boîtier (ou châssis), comportant des emplacements pour les périphériques de stockage sur la face avant, ainsi que des boutons permettant de contrôler la mise sous tension de l'ordinateur et un certain nombre de voyants permettant de vérifier l'état de marche de l'appareil et l'activité des disques durs. Sur la face arrière, le boîtier présente des ouvertures en vis-à-vis des cartes d'extension et des interfaces d'entrée-sortie connectées sur la carte mère.

Enfin, le boîtier héberge un bloc d'alimentation électrique (appelé communément alimentation), chargé de fournir un courant électrique stable et continu à l'ensemble des éléments constitutifs de l'ordinateur. L'alimentation sert donc à convertir le courant alternatif du réseau électrique (220 ou 110 Volts) en une tension continue de 5 Volts pour les composants de l'ordinateur et de 12 volts pour certains périphériques internes (disques, lecteurs de CD-ROM, ...). Le bloc d'alimentation est caractérisé par sa puissance, qui conditionne le nombre de périphériques que l'ordinateur est capable d'alimenter. La puissance du bloc d'alimentation est généralement comprise entre 200 et 450 Watts.

On appelle « unité centrale », l'ensemble composé du boîtier et des éléments qu'il contient. Les éléments externes à l'unité centrale sont appelés périphériques.

L'unité centrale doit être connectée à un ensemble de périphériques externes. Un ordinateur est généralement composé au minimum d'une unité centrale, d'un écran (moniteur), d'un clavier et d'une souris, mais il est possible de connecter une grande diversité de périphériques sur les interfaces d'entrée-sortie (ports séries, port parallèle, port USB, port firewire, etc.) :


20 août 2007

Programmation réseau - Les sockets


Introduction aux sockets

La notion de sockets a été introduite dans les distributions de Berkeley (un fameux système de type UNIX, dont beaucoup de distributions actuelles utilisent des morceaux de code), c'est la raison pour laquelle on parle parfois de sockets BSD (Berkeley Software Distribution).

Il s'agit d'un modèle permettant la communication inter processus (IPC - Inter Process Communication) afin de permettre à divers processus de communiquer aussi bien sur une même machine qu'à travers un réseau TCP/IP.

La communication par socket est souvent comparée aux communications humaines. On distingue ainsi deux modes de communication :

  • Le mode connecté (comparable à une communication téléphonique), utilisant le protocole TCP. Dans ce mode de communication, une connexion durable est établie entre les deux processus, de telle façon que l'adresse de destination n'est pas nécessaire à chaque envoi de données.
  • Le mode non connecté (analogue à une communication par courrier), utilisant le protocole UDP. Ce mode nécessite l'adresse de destination à chaque envoi, et aucun accusé de réception n'est donné.

Les sockets sont généralement implémentés en langage C, et utilisent des fonctions et des structures disponibles dans la librairie <sys/socket.h>.

Position des sockets dans le modèle OSI

Les sockets se situent juste au-dessus de la couche transport du modèle OSI (protocoles UDP ou TCP), elle-même utilisant les services de la couche réseau (protocole IP / ARP).

Modèle des socketsModèle OSI
Application utilisant les sockets Application
Présentation
Session
UDP/TCP Transport
IP/ARP Réseau
Ethernet, X25, ... Liaison
Physique


20 août 2007

Métiers de l'informatique


Introduction aux métiers de l'informatique

L'informatique fait aujourd'hui partie intégrante de la majorité des entreprises, à un tel point que le métier d'informaticien s'est diversifié en une multitudes de fonctions spécialisées, touchant aux réseau, au développement informatique, à la sécurité des systèmes informatiques ou encore à; l'infographie ou l'ergonomie.

A certains métiers correspondent des études particulières, tandis que la carence en informaticien rend la porte d'entrée de certaines fonctions techniques ouverte à tous. La bonne connaissance du cœur de métier de chaque fonction peut permettre d'en connaître les spécificités, les limites ainsi que les compétences indispensables.

Métiers de l'exploitation et de la production

Il s'agit du dernier maillon de la chaîne, c'est-à-dire toutes les personnes chargées de vérifier le bon fonctionnement des systèmes informatiques et des réseaux, d'assister les utilisateurs dans l'utilisation des nouvelles technologies ou les dépanner en cas de problème.

Métiers de la conception et du développement

Les métiers de la conception et du développement consistent à analyser un besoin, à concevoir des solutions, les modéliser informatiquement et les implémenter, c'est-à-dire les transcrire dans un langage informatique. Il s'agit de métiers alliant une capacité d'analyse à un esprit de synthèse et mettant en œuvre technique et créativité.

Métiers du conseil et de l'expertise

Les métiers du conseil et de l'expertise demandent un certain niveau d'expérience afin d'être en mesure d'étudier les besoins ou les solutions existantes dans une entreprise afin d'aider à la mise en œuvre d'une nouvelle architecture. Les principaux domaines d'application sont les systèmes d'information ou la sécurité informatique.

Métiers de la formation et de l'enseignement

L'objectif des métiers de la formation et de l'enseignement est de permettre à un groupe d'individus d'acquérir des connaissances pratiques et théoriques sur un domaine donné en vue de l'évolution de leurs pratiques professionnelles.

Métiers du marketing

Les métiers du marketing, essentiellement orientés vers des profils commerciaux, ont pour objectif l'optimisation de la vente des produits et service de l'entreprise, grâce à la définition et la satisfaction des besoins des clients, la prospection de nouveaux clients, ainsi que la fidélisation de la clientèle.

Métiers du management

Le terme management renvoie à la capacité à définir une stratégie et à gérer les ressources d'une organisation afin d'atteindre les objectifs fixés. Les métiers du management demandent généralement des compétences et matière de gestion de projets, de gestion de ressources humaines et de gestion financière.

Domaines d'application

L'informatique professionnelle peut être vue comme un simple outil au profit de la performance de l'entreprise. Ainsi, l'informatique est présente dans la quasi-totalité des secteurs (banque, assurances, industrie, services, etc.) mais se présente généralement selon trois domaines d'application distincts :

  • L'informatique industrielle, scientifique et technologique ;
  • L'informatique de gestion ;
  • Les télécommunications et réseaux.

Informatique industrielle, scientifique et technologique

L'informatique industrielle concerne l'utilisation de l'outil informatique pour la fabrication de produits industriels, du bureau d'études (conception assistée par ordinateur) à leur production (fabrication assistée par ordinateur, automatique, robotique) en passant par la logistique, la gestion des stocks, etc.

L'informatique technologique, parfois appelée informatique embarquée, concerne les applications enfouies (en anglais embedded) dans les appareils électroniques tels que les téléphones portables, les appareils hi-fi, les GPS, etc.

Enfin, l'informatique scientifique concerne l'informatique appliquée aux laboratoire de recherche fondamentale ou les services R&D (recherche et développement) des entreprises. Essentiellement basée sur l'utilisation des mathématiques, elle consiste à utiliser l'informatique pour modéliser, simuler et analyser des phénomènes.

Informatique de gestion

L'informatique de gestion caractérise l'utilisation de l'outil informatique pour simplifier la gestion administrative de l'entreprise, du suivi des clients jusqu'à la fiche de paye de l'employé en passant par les relations avec les fournisseurs (facturation, comptabilité). L'informatique de gestion est étroitement liée au système d'information de l'entreprise et se prend la forme, pour les grandes entreprises, d'un progiciel de gestion intégré.

Télécommunications et réseaux

Le domaine des télécommunications et réseaux (« télécoms » en abrégé) désigne l'utilisation de l'informatique pour la transmission d'information et représente un vaste secteur couvrant notamment les réseaux informatiques, la téléphonie mobile ou fixe ou la télévision numérique. La convergence de l'ensemble de ces secteurs grâce à Internet en fait un marché riche et dynamique.


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20 août 2007

Système d'Information


Notion de Système d'Information

Une entreprise crée de la valeur en traitant de l'information, en particulier dans le cas des sociétés de service. Ainsi, l'information possède une valeur d'autant plus grande qu'elle contribue à l'atteinte des objectifs de l'organisation.

Un système d'Information (noté SI) représente l'ensemble des éléments participant à la gestion, au traitement, au transport et à la diffusion de l'information au sein de l'organisation.

Très concrètement le périmètre du terme Système d'Information peut être très différent d'une organisation à une autre et peut recouvrir selon les cas tout ou partie des éléments suivants :


20 août 2007

SQL


Qu'appelle-t-on SQL?

SQL (Structured Query Language, traduisez Langage de requêtes structuré) est un langage de définition de données (LDD, ou en anglais DDL Data Definition Language), un langage de manipulation de données (LMD, ou en anglais DML, Data Manipulation Language), et un langage de contrôle de données (LCD, ou en anglais DCL, Data Control Language), pour les bases de données relationnelles.

Le modèle relationnel a été inventé par E.F. Codd (Directeur de recherche du centre IBM de San José) en 1970, suite à quoi de nombreux langages ont fait leur apparition :

  • IBM Sequel (Structured English Query Language) en 1977
  • IBM Sequel/2
  • IBM System/R
  • IBM DB2

Ce sont ces langages qui ont donné naissance au standard SQL, normalisé en 1986 par l'ANSI pour donner SQL/86. Puis en 1989 la version SQL/89 a été approuvée. La norme SQL/92 a désormais pour nom SQL 2.

SQL est un langage de définition de données

SQL est un langage de définition de données (LDD), c'est-à-dire qu'il permet de créer des tables dans une base de données relationnelle, ainsi que d'en modifier ou en supprimer.

SQL est un langage de manipulation de données

SQL est un langage de manipulation de données (LMD), cela signifie qu'il permet de sélectionner, insérer, modifier ou supprimer des données dans une table d'une base de données relationnelle.

SQL est un langage de protections d'accès

Il est possible avec SQL de définir des permissions au niveau des utilisateurs d'une base de données. On parle de DCL (Data Control Language).

Typologie du langage

Il est possible d'inclure des requêtes SQL dans un programme écrit dans un autre langage (en langage C par exemple), ainsi que d'envoyer directement les requêtes SQL telles quelles au SGBD.

Il est possible d'ajouter des commentaires grâce :

  • au caractère %. Tous les caractères situés après celui-ci sur la même ligne ne seront pas interprétés
  • aux délimiteurs /* et */. Tous les caractères compris entre les délimiteurs sont considérés comme des commentaires

Les commentaires ne peuvent pas être imbriqués!

Le langage SQL n'est pas sensible à la casse (en anglais case sensitive), cela signifie que l'on peut aussi bien écrire les instructions en minuscules qu'en majuscule. Toutefois, cette insensibilité à la casse n'est que partielle dans la mesure où la différenciation entre minuscules et majuscules existe au niveau des identificateurs d'objets.


20 août 2007

modèle relationnel


Qu'est-ce que le modèle relationnel?

Le modèle relationnel est basé sur une organisation des données sous forme de tables. La manipulation des données se fait selon le concept mathématique de relation de la théorie des ensembles, c'est-à-dire l'algèbre relationnelle. L'algèbre relationnelle a été inventée en 1970 par E.F. Codd, le directeur de recherche du centre IBM de San José. Elle est constituée d'un ensemble d'opérations formelles sur les relations. Les opérations relationnelles permettent de créer une nouvelle relation (table) à partir d'opérations élémentaires sur d'autres tables (par exemple l'union, l'intersection, ou encore la différence).

La théorie des ensembles met en oeuvre deux notions :

  • la notion de domaine
  • la notion de produit cartésien

La notion de domaine

Un domaine est un ensemble fini ou infini de valeurs. On le représente par une liste d'éléments ou bien une condition nécessaire et suffisante d'appartenance :

  • le domaine des booléens: {0,1}
  • le domaine des doigts de la main: {pouce, index, majeur, annulaire, auriculaire}
  • ...

La notion de produit cartésien

La manipulation des données (sélection de valeurs) se fait suivant la notion mathématique de produit cartésien.

Le produit cartésien d'un ensemble de domaines Di, noté D1*D2*D3*...*Dn

est l'ensemble des n-uplets (appelés aussi tuples) <V1,V2,...,Vn> 
tels que Vi appartient à Di

Modélisation relationnelle

La modélisation relationnelle permet de représenter les relations à l'aide de tables (à deux dimensions) dont chaque colonne a un identificateur qui représente un domaine. Une ligne du tableau représente donc une entité et chacune des cases représente un de ses attributs.

On appelle attributs le nom des colonnes qui représentent les constituants de l'entité. Un attribut (une colonne) est repéré par un nom et un domaine de définition, c'est-à-dire l'ensemble des valeurs qu'il peut prendre.
On appelle tuple (ou n-uplet) une ligne du tableau.

L'entité voiture pourra par exemple être représentée par :

  • La marque
  • Le modèle
  • La série
  • La plaque minéralogique

La cardinalité d'une relation est le nombre de tuples qui la composent. Dans l'exemple ci-dessus la cardinalité est égale à 3.

La clé principale d'une relation est l'attribut, ou l'ensemble d'attributs, permettant de désigner de façon unique un tuple. Dans l'exemple ci-dessus, le numéro de la plaque minéralogique est une clé principale dans la mesure où la seule connaissance de cet attribut permet de connaître la voiture.
Une clé étrangère, par contre, est une clé (donc un attribut permettant d'identifier de façon unique un tuple) faisant référence à une clé appartenant à une autre table.

La description d'une relation (d'une table) par ses attributs (nom et domaine) est appelée schéma d'une relation. On désigne par le terme schéma d'une base de données relationnelle l'ensemble des relations qui la composent.

La manipulation des éléments de la table se fait à l'aide d'opérations sur les ensembles. On définit deux types d'opérations de base :

  • Les opérations unaires
  • les opérations ensemblistes


20 août 2007

MERISE - Initiation à la conception de systèmes d'information


Le besoin de méthodes

La conception d'un système d'information n'est pas évidente car il faut réfléchir à l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de conception nécessite des méthodes permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer. La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s'intéresse.

Ce type de méthode est appelé analyse. Il existe plusieurs méthodes d'analyse, la méthode la plus utilisée en France étant la méthode MERISE.

Présentation de la méthode MERISE

MERISE est une méthode de conception, de développement et de réalisation de projets informatiques. Le but de cette méthode est d'arriver à concevoir un système d'information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques.
La séparation des données et des traitements assure une longévité au modèle. En effet, l'agencement des données n'a pas à être souvent remanié, tandis que les traitements le sont plus fréquemment.

La méthode MERISE date de 1978-1979, et fait suite à une consultation nationale lancée en 1977 par le ministère de l'Industrie dans le but de choisir des sociétés de conseil en informatique afin de définir une méthode de conception de systèmes d'information. Les deux principales sociétés ayant mis au point cette méthode sont le CTI (Centre Technique d'Informatique) chargé de gérer le projet, et le CETE (Centre d'Etudes Techniques de l'Equipement) implanté à Aix-en-Provence.

Cycle d'abstraction de conception des systèmes d'information

La conception du système d'information se fait par étapes, afin d'aboutir à un système d'information fonctionnel reflétant une réalité physique. Il s'agit donc de valider une à une chacune des étapes en prenant en compte les résultats de la phase précédente. D'autre part, les données étant séparées des traitements, il faut vérifier la concordance entre données et traitements afin de vérifier que toutes les données nécessaires aux traitements sont présentes et qu'il n'y a pas de données superflues.

Cette succession d'étapes est appelée cycle d'abstraction pour la conception des systèmes d'information :

L'expression des besoins est une étape consistant à définir ce que l'on attend du système d'information automatisé, il faut pour cela :

  • faire l'inventaire des éléments nécessaires au système d'information
  • délimiter le système en s'informant auprès des futurs utilisateurs

Cela va permettre de créer le MCC (Modèle conceptuel de la communication) qui définit les flux d'informations à prendre en compte.

L'étape suivante consiste à mettre au point le MCD (Modèle conceptuel des données) et le MCT (Modèle conceptuel des traitements) décrivant les règles et les contraintes à prendre en compte.

Le modèle organisationnel consiste à définir le MOT (Modèle organisationnel des traitements) décrivant les contraintes dues à l'environnement (organisationnel, spatial et temporel).

Le modèle logique représente un choix logiciel pour le système d'information.

Le modèle physique reflète un choix matériel pour le système d'information.


20 août 2007

Bases de Données


Qu'est-ce qu'une base de données ?

Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom de base. On parle généralement de système d'information pour désigner toute la structure regroupant les moyens mis en place pour pouvoir partager des données.

Utilité d'une base de données ?

Une base de données permet de mettre des données à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits accordés à ces derniers. Cela est d'autant plus utile que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses.

Une base de données peut être locale, c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau.

L'avantage majeur de l'utilisation de bases de données est la possibilité de pouvoir être accédées par plusieurs utilisateurs simultanément.

La gestion des bases de données

Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d'un système de gestion s'est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS (Database management system). Le SGBD est un ensemble de services (applications logicielles) permettant de gérer les bases de données, c'est-à-dire :

  • permettre l'accès aux données de façon simple
  • autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs
  • manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression, modification)

Le SGBD peut se décomposer en trois sous-systèmes :

  • le système de gestion de fichiers :
    il permet le stockage des informations sur un support physique
  • le SGBD interne :
    il gère l'ordonnancement des informations
  • le SGBD externe :
    il représente l'interface avec l'utilisateur

Les principaux SGBD

Les principaux systèmes de gestion de bases de données sont les suivants :


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